The world is mine, tome 14 Hideki Arai texte complet

The world is mine, tome 14

par Hideki Arai

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The world is mine, tome 14 Hideki Arai texte complet - L'interrogatoire de Toshi se poursuit, et avec lui, les révélations sur le passé des deux criminels. De son côté, Mon, toujours en liberté, semble s'être muré dans le silence, impassible témoin de l'engouement qu'il suscite. Pour ce qui est de provoquer l'agitation, Higumadon n'est pas en reste : la planète semble tourner autour du monstre que l'armée américaine s'apprête à transporter ...

Détails de The world is mine, tome 14

Titre du livre : The world is mine, tome 14

Auteur : Hideki Arai

ISBN-10 : 2203012382

Date de sortie : 30/11/-1

Catégorie : Récits

Nom de fichier : the-world-is-mine-tome-14.pdf

Taille du fichier : 23.37 (La vitesse du serveur actuel est 24.75 Mbps

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Vous trouverez ci-dessous les commentaires du lecteur après avoir lu The world is mine, tome 14. Vous pouvez considérer pour votre référence.

Au final The World Is Mine est un bon manga. 14 tomes et une fin digne de ce nom. Le mangaka termine par ce qui aurait dû être logiquement le début, c'est à dire la rencontre du duo et l'étrange histoire qui entoure le parcours de Mon-Chan. La question qui brûlait toutes les lèvres est enfin élucidée. Un choix très bien pensé et porté jusqu'au bout, comme pour le mystère Higumadon. On ne sent aucun relâchement dans le travail du dessinateur ce qui reste assez rare même pour les meilleurs seinen. Ce qui m'aura le plus déplu restera le chara-design, le graphisme n'est pas exploité au mieux de sa forme concernant les personnages (traits bizarres, déformés) même si les décors restent corrects. La fin du manga m'a rappelé AKIRA pour son côté apocalyptique et sa dimension politique. Je n'ai pas aimé l'intrusion américaine au récit même si elle est justifiée. Même si Maria Odate joue un rôle important dans l'histoire, j'ai regretté de la voir réapparaître car toute sa personnalité m'a agacé. Je n'ai jamais pu la supporter, jusqu'à ses tiques verbaux et sa mièvrerie. Le point culminant de l'oeuvre se trouve dans le 11ème tome, qui reste pour moi l'apothéose de l'atrocité que nous a réservé ce manga. Je crois que j'ai été moins choqué par l'apocalypse meurtrière d'Higumadon que de la violence physique et psychologique de Toshi. Je n'avais jamais vu quelque chose de semblable auparavant dans des seinen dont la violence n'est pas épargnée (wolf guy, charisma).+ Lire la suite